Au coeur de cette immensité,
Je vais, je viens, suis égarée,
Recherchant sans me résigner,
Mon Ame et mon Identité.
 
Dans ce dédale où j’ai cherché,
Je tourne, je vire et je perds pied,
Je n’arrive plus à assumer,
Et mon coeur saigne, je suis blessée.
 
Malheurs à toi, tu as gâché !
Ton Amour, ta virginité,
Destin cruel ! tu m’as frappé,
Arriverais-je à surmonter…
 
              Maria Cesare. Le 29 octobre 2006